À contre-cœur

Le métronome est arrêté.
Qui nous donnera la cadence ?
Comment poursuivrons-nous la danse
Sur les faubourgs de la Cité ?

Automne, hiver, printemps, été,
Ont résonné de ta romance
Qui nous a montré l’importance
Du regard sur l’homme porté.

Nous t’attendons. Reviens nous vite,
Ami qui t’écartes sans bruit
À l’époque où mûrit le fruit.

Que brille à nouveau la pépite
De ce bel œil qui fait chanter
En couleur un monde enchanté.


Dominique Hasselmann est contraint d’annoncer aujourd’hui la fin de la parution de son magnifique blog Métronomiques. Ce sonnet lui est dédié.

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