Holorimes préélectorales

Gueule de bois des électeur prolétaires. Se voyant plus démunis que des poètes réduits au silence, ils préfèrent briser là et retourner à leurs occupations.

O l’an : de nouveau l’oenomanie fait station
Oh l’an d’eux nous vaut le nome à niffer. Ce tas scions.


Holorimes : lus à haute voix, les deux vers sont identiques.
Peut-être même un troisième sens pourrait-il surgir sans crier gare.
Posté sur la liste Oulipo le 9 janvier 2012

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